Il y a deux ans maintenant, une idée est née: rassembler les étudiants des 4 Instituts Polytechniques de France (Bordeaux, Toulouse, Grenoble et Lorraine) autour d’un élément fédérateur : le SPORT.

Ces Olympiades Inter INP ont pris le nom d'OL’INP et se sont concrétisées à Toulouse les 16 et 17 Avril 2011. La Lorraine a été choisie pour accueillir la deuxième édition de ce tournoi qui aura lieu les 28, 29 et 30 ....

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Il y a deux ans maintenant, une idée est née: rassembler les étudiants des 4 Instituts Polytechniques de France (Bordeaux, Toulouse, Grenoble et Lorraine) autour d’un élément fédérateur : le SPORT.

Ces Olympiades Inter INP ont pris le nom d'OL’INP et se sont concrétisées à Toulouse les 16 et 17 Avril 2011. La Lorraine a été choisie pour accueillir la deuxième édition de ce tournoi qui aura lieu les 28, 29 et 30 Avril 2012 à Nancy (complexe sportif des Aiguillettes).

L’évènement a commencé par l’accueil des autres INP. Bordeaux la première vers 7h du matin puis Grenoble et enfin Toulouse.

Tous les matins et midi, un petit dej’ et un repas était servis au participants au RU des Aiguillette, avec concours de bruit à la clé !

Pour les épreuves, de nombreuses disciplines étaient représentées : foot, rugby, judo, cross, volley, basket et bien d’autres.

Les Ensemiens furent très représentés lors de cet évènement, avec pas moins de 50% des supporter de l’INPL.

Le samedi soir fut rythmée par une fête à l’ENVERS CLUB avec au programme concert et DJ. Le groupes avaient d’ailleurs été sélectionnés à l’issue de nombreuses soirées pour préparer le tournoi.

La dernière soirée s’est déroulée dans les halls communs de l’ENSEM et de l’ENSAIA. Avec 3 salles, 3 trois ambiances et 2 bars, les élèves des différentes INP se retrouvèrent pour un moment de joie et de folie.

Le dernier jour fut celui des finales et de la remise des prix. Nancy gagna haut la mai. Elle redore son blason, elle avait fini dernière aux précédentes olympiades.

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Les 24H de Stan sont un évènement étudiant unique en son genre. Le principe est simple : les écoles et facultés de Nancy et des environs construisent un char (souvent en partant d’une vieille voiture) et le but est de le faire tourner sur la place Carrière pendant 24H. A l’issue de cette course, plusieurs prix sont remis, comme le Prix Spécial du jury, le prix du plus grand nombre de tours parcourus, le prix du ....

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Les 24H de Stan sont un évènement étudiant unique en son genre. Le principe est simple : les écoles et facultés de Nancy et des environs construisent un char (souvent en partant d’une vieille voiture) et le but est de le faire tourner sur la place Carrière pendant 24H. A l’issue de cette course, plusieurs prix sont remis, comme le Prix Spécial du jury, le prix du plus grand nombre de tours parcourus, le prix du fair-play, le prix du plus beau char, …

C’est également l’occasion pour de nombreux groupes de musique locaux de se produire sur la scène installée place Carrière. On peut observer également des sauteurs sur échasses, des jongleurs, des chorégraphies concoctées par les écoles, etc.

Cette année, ce ne sont pas moins de 32 écoles et facultés (parfois associées entre elles sur un seul char) qui se sont présentées sur la ligne de départ. L’ENSEM y a envoyé une délégation composée de 183 membres survoltés par la course et l’ambiance de l’évènement.

Nous avons donc construit un char, en partant d’une base de Volkswagen Polo roulante (même en état acceptable), nous avons enlevé tout ce qui n’était pas nécessaire (tout l’intérieur, le coffre, les portières, et surtout le moteur). L’ENSEM ne nous a malheureusement pas accordé la moindre place au sein du campus, nous avons donc du nous débrouiller seuls. Il a fallu également décorer ce char, nous avons choisi de reprendre la mascotte de l’école : Le Crocodile, en y ajoutant quelques rappels au thème de l’évènement ; « A la conquête de l’espace ». Nous avons du également rajouter quelques éléments de sécurité (un coupe batterie, une plateforme à l’arrière  du véhicule…). Le char, après avoir brillamment passé les tests de sécurité obligatoires était donc prêt pour l’évènement.

Après avoir parcouru la ville lors du défilé et avoir fièrement brandi les banderoles faisant la gloire de notre école (« ENSEM, vainqueur des dernières éditions du TIE », ou encore « ENSEM, roi de l’INPL »), nous avons pu prendre part à la course. Mal positionnés sur la grille de départ, cela ne nous a pas déconcertés pour autant. Nous avons poussé notre char pendant les 24H de l’évènement, sans interruption, avec toujours au moins une équipe d’une vingtaine de personnes présente, même au bout de la nuit, avec quelques litres de bière pour motiver les troupes. Nous pouvons être fiers d’avoir le seul char qui n’a eu à déplorer aucun incident mécanique, prouvant ainsi que notre formation n’est pas étrangère à notre réussite sur ce genre d’évènement. Après quelques changements de batterie (obligatoire pour pouvoir alimenter le klaxon et les phares), nous sommes arrivés au terme de la course. Nous finissons à une honorable 6^ème place en termes de tours parcourus. Et on peut se dire, vivement la prochaine édition, où nous ferons encore tout notre possible pour gagner un prix.

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Profitant du début des vacances, Jean Bouhier a mis la touche finale à son journal et nous fait vivre leur aventure, de la recherche de la 4L à leur retour en France...

Un journal tenu au quotidien, enrichi par les rencontres et pimenté par différents incidents que l'équipage a toujours su surmonter.... avec parfois, on l'imagine, quelques moments de doute, voire de ....

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Profitant du début des vacances, Jean Bouhier a mis la touche finale à son journal et nous fait vivre leur aventure, de la recherche de la 4L à leur retour en France...

Un journal tenu au quotidien, enrichi par les rencontres et pimenté par différents incidents que l'équipage a toujours su surmonter.... avec parfois, on l'imagine, quelques moments de doute, voire de découragement, rapidement surmontés !

Ce document est richement illustré des photos prises tout au long de l'aventure.

Un témoignage à télécharger et à découvrir ici !

La participation d'un équipage ENSEM au 4L Trophy a fait l'objet d'une subvention de l'Association des Ingénieurs ENSEM.

Un financement bien employé.

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Jérôme MARTRES (82 E) Délégué Général à la sécurité ferroviaire

Nous apprenons par un communiqué de presse de la RATP :

Communiqué de presse du 26 juin 2012

Né en 1959, Jérôme Martres est diplômé de l’École Nationale Supérieure d'Électricité et de Mécanique de Nancy (promotion 1982 E, N.D.L.R.). Il débute son parcours professionnel à la Direction du Réseau Ferré de la RATP en ....

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Jérôme MARTRES (82 E) Délégué Général à la sécurité ferroviaire

Nous apprenons par un communiqué de presse de la RATP :

Communiqué de presse du 26 juin 2012

Né en 1959, Jérôme Martres est diplômé de l’École Nationale Supérieure d'Électricité et de Mécanique de Nancy (promotion 1982 E, N.D.L.R.). Il débute son parcours professionnel à la Direction du Réseau Ferré de la RATP en 1982. Entre 1992 et 1998, il est détaché auprès du Syndicat des Transports Parisiens (STP), où il dirige la Division des Grands Projets. Il rejoint le département RER en 1998, département dont il assure la direction ensuite entre juin 2004 et septembre 2007. Il est, depuis janvier 2008, Directeur du département Maîtrise d'Ouvrage des Projets (MOP).
Il prendra ses fonctions le 1er juillet 2012.

La Délégation générale à la sécurité ferroviaire (DGSF) veille aux conditions de prise en charge de la sécurité ferroviaire dans toutes les composantes de l'entreprise. Elle pilote et met en œuvre les règles de sécurité ferroviaire définies par la direction de la RATP.
Ces règles, élaborées dans le cadre d’une approche systémique, portent sur les infrastructures, les installations techniques. Les véhicules, les principes et règles d'exploitation.de maintenance ou de contrôle.
Le Délégué général détermine donc le cadre auquel doivent se conformer tous les responsables en charge de sécurité ferroviaire au sein de l'entreprise. Il est compétent pour la RATP et ses filiales.

Service de presse RATP

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Ingénieur de l'École Nationale Supérieure d'Électricité et de Mécanique (promotion 1977 M), Jean-Luc KARNIK continue son cursus à l’Institut Français du Pétrole, il en obtiendra le diplôme en 1979.

Jean-Luc KARNIK effectue l’essentiel de sa carrière à l’IFP qui deviendra, par Décret du 21 janvier 2010, l’IFPEN. IFP Énergies Nouvelles est un organisme public de recherche, d'innovation et de formation intervenant ....

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Ingénieur de l'École Nationale Supérieure d'Électricité et de Mécanique (promotion 1977 M), Jean-Luc KARNIK continue son cursus à l’Institut Français du Pétrole, il en obtiendra le diplôme en 1979.

Jean-Luc KARNIK effectue l’essentiel de sa carrière à l’IFP qui deviendra, par Décret du 21 janvier 2010, l’IFPEN. IFP Énergies Nouvelles est un organisme public de recherche, d'innovation et de formation intervenant dans les domaines de l'énergie, du transport et de l'environnement. L’organisme conserve, cependant, le droit d’utiliser « IFP », sigle mondialement connu.

En 2000, il est nommé Directeur d’IFP-School. Il restera aux commandes douze années au cours desquelles il saura internationaliser l’École, tout en tissant des liens puissants avec le monde industriel. Il sera autour des fonts baptismaux lors de la création d’IFP-Training.

C’est, dans cette continuité, qu’il prend les rênes d’IFP-Training qui est, aujourd’hui, leader mondial pour la formation et les simulateurs de formation dans les secteurs du pétrole et du gaz.

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